Jeremy McGrath Supercross 2000

Jeremy McGrath Supercross 2000
par Thryphon3D

Titre Original :
Plateforme(s) :
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Developpeur :
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Multijoueur :
Langue :
Sortie Europeen :
Sortie US :
Sortie Japonaise :

 
 

Jeremy McGrath Supercross 2000 
Dreamcast, N64,
Course 
Acclaim 
Acclaim
1-2 joueurs 
Français 
2000 
2000 
 

 
 

Introduction personnelle : je commence les tests de tous les jeux que j'ai reçus avec ma Dreamcast, celui-là d'abord. Je ferais pareil avec la Saturn après, ou j'alternerais, on verra.





Intro

Il éxiste dans nos émotion des points sensibles qui, différemment des autres, nous force parfois à pleurer. On peut pleurer par tristesse, par joie, par déséspoir, par amour... La grande question est : de quoi pleure-t-on avec ce Jeremy McGrath Supercross 2000 ?


Une (dés)illumination ?

Le jeu lancé, une cinématique composée d'extraits des exploits de notre Jeremy adoré se lance avec une bonne musique bien rock, limite metal. Une fois cela fait, on arrive sur un menu plutôt prometteur avec un multijoueur, championnats, défis, freestyle, j'en passe. Toujours une musique bien tonitruante, j'aime bien. Bon, va pour le mode championnat direct! On commence avec la première course, et là on vérifit tout de suite si on jou bien à la Dreamcast et pas à la PS1, parce que graphiquement, on s'y tromperais : virages taillées à la hache, les motos à la cerpe... Un décors absolument ridicule en 4 couleurs maximum (et encore!) et ça se permet de ne pas être forcément très fluide, en sus. Le son des moteurs font plus penser à une nuée de moustiques qu'autre chose (enfin si : de guêpes, peut-être...). La conduite est sans saveur, on a pas vraiment l'impression de conduire une motocross, je sais pas comment expliquer mais c'est d'une platitude sans nom. Mais le meilleur reste les collisions entre les concurrents : elles ne gênent pas votre vitesse (alors foncez!) et à peine votre trajectoire (alors...foncez!).

Là on sais pas trop ce qu'il fait, mais admirez ce décor!


Ce test est cours mais que dire d'autre?

Il est vrai qu'une fois avoir fini la course, on se demande vraiment que faire, en fait. On reste béat pendant un instant devant notre pauvre écran, puis la voix de la raison vient commander notre bras d'éteindre la console. Je n'ai pas encore eu l'occasion d'essayer le multijoueur, j'en suis désolé, mais de toute façon je crois que j'en ais assez vu. Vu la platitude extrême du gameplay, j'imagine que les autres modes de jeux dégagent la même saveur amer... D'où la durée de vie : j'ai fait trois courses en vérité (les 2 autres pour être sur de ma première impression...). Il n'y aurait qu'une chose à sauver : la musique j'aime bien le genre, et ça pulse assez bien, dommage que le reste ne suive pas.

ces cacahuettes sont bien faites, quand même!...

Conclusion

Graphismes : 5/20
Bande sonore : 11/20
Maniabilité : 5/20
Durée de vie : 4/20

Bilan : 5/20

Nous pleurons donc de pitié, de tristesse, pour notre console qui a du faire tourner ce CD, pour notre télé qui a du en afficher le contenu, et pour nous, qui avant manipuler tout ça... D'un autre côté, ce genre de jeux sont indispensables pour apprécier à leur juste valeur les bons jeux!

 
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