Batman Arkham Asylum

Batman Arkham Asylum
par Mortback

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Xbox 360,
 
 

 
 
 
 
 

 
 

Batman Arkham Asylum











Batman est un personnage de fiction créé par Bob Kane et Bill Finger dans Detective Comics #27 en 1939. C'est un super-héro sans pouvoirs. L'homme qui se cache sous son costume est connu sous le nom de Bruce Wayne. Ce dernier assiste impuissant à la mort de ses parents, plus tard il endosse le rôle du justicier de la ville de Gotham, voulant en quelque sorte racheter ses fautes.

Au cours des années, le comics a évolué, apportant de nombreuses nouveautés ; mais aussi l’effet commercial est apparu, profitant de la notoriété de cette bande dessinée. Pour les plus anciens d’entre nous, une série Kitsch nous montrait les aventures de Batman et Robin doté de répliques bien marrantes, certes cela peut vous être considéré comme du mauvais goût mais cela a permis à nous de découvrir ce héros, autre que les éditions DC.





Tim Burton a démocratisé le Chevalier noir

Avec la sortie de Batman en 1989, Batman tue dans le feu de l'action, ce qui ne correspond pas avec la vision moralisatrice du personnage, symbolisée par la série dite kitsch des années 1960. Il risquait même parfois sa vie pour sauver celle de ses ennemis. Au contraire, sous la plume de Bob Kane dès la fin des années 1930, Batman tuait ses ennemis de sang-froid dans ses toutes premières aventures. Le film de Tim Burton renoue donc avec le côté sombre et torturé du personnage. Le film a été un succès financier et critique, rapportant plus de 400 000 $ dans le total du box-office. Il a reçu de multiples nominations aux Oscars, Golden Globes.


Quelques mois plus tard, l’éditeur Sunsoft utilise la licence à bonne escient pour réaliser un titre majeur dans nos mémoires, encore aujourd’hui, il reste une légende à mes yeux.

Ce Batman sorti sur Nes aura une suite sous le titre « Return of Joker », mais la réalisation manqua de punch.
[color=#000000]Quelques années plus tard, d’autres éditeurs s’engouffrent dans la brèche, surfant sur les succès des longs métrages tout en gardant une qualité remarquable.




Aujourd’hui sort un nouveau opus qui s’inspire librement des influences cinématographiques mais aussi de la bande dessinée. Batman Arkham Asylum développé par Rocksteady et distribué par Eidos a reçu de notes hors norme, alors est-ce véritablement justifié ?

Ce titre a reçu la note de 19/20 attribué par Jeux Vidéo Magazine, la distinction est indiquée en bas de la couverture, déjà un premier signe accrocheur pour un acheteur potentiel. De plus, vous avez pu le constater le nouveau symbole de la Pegi, la couleur orange nuit immédiatement à la noirceur de la pochette.






Préparez-vous à sombrer dans la folie !

Au moment où le Joker accueille Batman dans la maison des fous juste après leur arrivée sur l’île d’Arkham, quasiment rien ne laisse présager de l’horrible tournure que vont prendre les événements au cours de cette nuit fatidique. A vrai dire, l’évasion du Joker ne constitue que le début de ce qui va s’avérer être la pire nuit de toute l’existence de Batman. Ce qui redoute par-dessus tout un justicier est de se retrouver face à son ennemi à l’extérieur des murs de sa prison. C’est exactement ce qui va arriver au Chevalier noir. Mais il ne s’agit pas d’un adversaire unique de moindre envergure, mais de la longue liste des psychopathes les plus dérangés de la ville de Gotham.





Tous, du Joker à l’Epouvantail en passant par Poison Ivy et Killer Croc sont impatients de mettre leurs griffes sur le héros pour lui déchirer ses entrailles.
Et si cela ne suffisait pas, l’homme chauve-souris doit supporter les incessantes moqueries qu’Eddie Nashton (alias Edward Nigma) lui susurre dans son oreillette.

Le temps passant, Batman poursuit sa quête pour arrêter le Joker et remettre de l’ordre dans l’anarchie qu’est devenue l’Asile d’Arkham. Il devient pourtant de plus en plus clair que le problème ne se limite pas à l’évasion du Clown diabolique. En réalité, la sécurité de tous les habitants de la ville repose sur les épaules du héros. La principale raison pour laquelle, Batman peut espérer revoir la lumière du jour à la fin de cette aventure est son souci de parer à toutes les éventualités. C’est ainsi qu’il avait construit voici des années une Batcave où vous obtenez différents gadgets pour poursuivre votre survie.

A travers un scénario inédit réalisé par l’auteur de la série animé (Paul DIMI), le jeu se rapproche terriblement d’un autre titre sorti deux ans auparavant : The Darkness. En effet, on ressent une ambiance sombre et laissant une sensation d’effroi. Nous entrons presque en terrain conquis ?!
Il est à noter que les doublages en V.O. de l’animé étaient gérés par Mark Hamill (star wars, Luke skywalker) et Kevin Conroy pour Batman. Ici, les voix sont uniquement en français et sous titrées, ce qui montre l’implication de s’imprégner dans l’histoire.







Un concept supplémentaire

Le titre de Rocksteady se présente comme un mélange de jeu d’aventure et d’action avec une partie exploration, ainsi que des passages en infiltration.
Pourquoi une partie de cache-cache ? Batman à l’origine est un humain, donc il peut mourir à tout instant, malgré sa renommée les sbires du Joker sauront vous faire mordre la poussière, alors soyez vigilant.

Batman peut combattre la racaille de Gotham avec son expertise dans la plupart des arts martiaux, avec des coups de pied retourné, des saltos, des esquives, et bien d’autres. Le système des combos est géré par le l’ordinateur contrairement à un jeu de baston 2D, l’enchainement des attaques suivent un rythme bien posé.
Des phases contextuelles apparaissent à l’écran, vous devez appuyer au bon moment pour lancer un contre ou une mise au sol neutralisant définitivement l’adversaire. A noter, le bruitage du craquement de la jambe d’un ennemi lors de cette attaque, le joueur jubile à ce martyre.
Etant une personne ayant une condition exceptionnelle, Batman disposera au fil de l’aventure d’autres objets dont le fameux Triple Batarang.
Voici l’un des conseils pour obtenir le succès « enchainement libre combo 20 » (attention, il existe x40, dur, dur). Dans le hall principal du Manoir d’Arkham, vous trouverez 10 ennemis non armés. Choisissez bien le moment d’exécuter les coups critiques et appliquez des éliminations spéciales et des lancements de combo spécial. Evitez d’être touché et ne frappez jamais le même personnage deux fois d’affilée. Pour réussir un long combo, vous devez maintenir tous les ennemis sur pieds assez longtemps pour pouvoir les frapper à répétition !






Second point à souligner, l’infiltration, à l’image d’un Solid Snake, Batman devra néanmoins opérer dans l’ombre afin de ne pas subir les projectiles de ses adversaires. Ces derniers disposent de mitraillette, barre de fer,… et les dégâts infligés réduisent considérablement la santé du super héros. A l’aide de quelques techniques comme le fait de surprendre l’adversaire et le suspendre sur une gargouille à l’aide d’un filin, cela permet d’attirer l’attention d’autres gardes et ainsi trouver un sbire seul loin de ses compagnons et l’abattre sans éveiller la peur des autres personnages. Autre caractéristique, à travers la fonction du masque, Batman peut remarquer les sentiments des gardes et visionner leur comportement, sans omettre les emplacements de caches secrètes.
Batman sera considéré par ses ennemis comme un prédateur sans pitié, et la voix du Joker motivant ses troupes prête à faire sourire, surtout dans les modes défis.





Les muscles combinés à la réflexion, cela aboutit au dernier élément du gameplay. L’aventure se déroule à travers l’asile Arkham et vous aurez des missions à accomplir, en majorité à sauver des gardes du gaz toxique du Joker, mais aussi dans la recherche d’indices pour rejoindre d’autres sections de la carte.

Rocksteady s’inspire librement de la série GTA, sans pousser à une copie conforme. Vous scannez une pièce suivant les informations données par Oracle, ensuite il suffira de suivre la piste, rien de bien compliqué, mais Batman pratique ici un jeu de pistes.

Toujours au registre des neurones, Riddler (Enigma) vous proposera de résoudre ses défis, ces derniers sont multiples comme la destruction des « dentiers ricanant » ou le symbole « ? » mais aussi des énigmes tordues. En voici un exemple : « mes défis apparaissent à ceux qui ont une bonne position dans la vie » (Arkham Est), la solution se trouve sur le toit du manoir d’Arkham et continuez jusqu’au rebord le long de la tour arrière. Déplacez-vous jusqu’au côté sud de la tour et activez le mode détection pour repérer la partie supérieure du signe « ? » entre les deux toits pointus en contrebas. Alignez le point au sol près des pieds de Batman pour compléter le dessin du signe.

Notre super héros évoluera au fil des actions réalisés, vous montez en expérience. Ce concept permet de débloquer des gadgets, mais aussi des aptitudes comme lancer plusieurs batarangs à la fois ou renforcer son armure.





]De plus des armes comme le gel explosif servira à détruire des murs, cachant bien souvent des « ? » mais également des stèles symbolisant l’esprit d’Arkham, des défis hors scénario. Chaque arme donne à Batman de nouvelles possibilités d’attaque, tout en donnant des points d’expérience. Sachez bien utiliser vos améliorations suivant votre technique de combat, la discrétion avec le Batarang sonique ou bien rentrer « dans le lard » doté d’une protection supplémentaire.

Batman Arkham Asylum est un parfait mélange d’action et d’infiltration tout en offrant une certaine réflexion dans sa quête.








Les plaies et les boss

Les sbires du Joker seront la majorité des ennemis rencontrés, cependant d’autres adversaires bien plus redoutables donneront à Batman l’impression de vivre un véritable cauchemar.
En effet de nombreux gardiens sauront vous rappeler que vous errez en territoire ennemi. A noter que la mini BD offerte avec le jeu apporte quelques explications sur la mutation de Bane par exemple.

L’une des craintes sur ce Batman était l’univers du jeu. J’avais en effet un peu peur que toute l’action se déroule dans l’asile et que le jeu soit aussi clostrophobique face à Dead Space. Heureusement, il n’en est rien, le jeu se déroule sur l’île d’Arkham qui propose donc des passages en extérieur ainsi que divers bâtiments variés. Ainsi, outre le centre de soins intensifs, vous pourrez visiter une morgue, un manoir, un botanique, un centre médical, un pénitencier,…

A trois reprises, le Chevalier Noir subira les effets néfastes des gaz toxiques dont on saura plus tard l’origine de ses étourdissements.

Batman se retrouve dans un univers fantasmagorique qui touche de près ou de loin la mort de ses parents. Batman est alors confronté à l’épouvantail, un personnage gigantesque digne de God Of War qui essaie de vous repérer dans des décors désolés et accidentés, aussi perturbants que dans Psychonaut. J’avoue que ce dernier est assez effrayant et qu’il m’a mis la pression à un moment : je suis resté immobilisé derrière un mur afin de bien évaluer ce que je devais faire pour m’en sortir. N’oublions pas les game over, bien cruel de ce dernier.




Le combat de Killer Croc implique le joueur dans une sensation de stress, le mutant profite pour déverser toute sa haine dans des phrases à l’impact puissant. Vous devrez marcher sur des plates-formes en douceur sous peine d’être dévoré immédiatement. Certes le combat est particulier face à cette force de la nature, mais quel plaisir d’avoir battu ce terrible monstre.
A noter que cette séquence nous laisse sur notre faim.

Sans tout vous dévoiler, vous trouverez également la biographie d’autre boss non présent dans le jeu, mais aussi des cassettes qui indique le comportement de ces psychopathes, sans oublier les figurines à trouver.






Immersion quand tu nous tiens

Si vous avez remarqué, dans de nombreuses biographies, il existe des cassettes audio, ces dernières ont un impact sur le fan, mais elles permettent au mieux de se plonger dans l’univers du comics.

Les tombes « Esprit Arkham » raconte l’histoire de cette île, cela peut se montrer fastidieux au départ, cependant la voix d’outre-tombe replonge le héros dans une histoire parallèle comportant des points similaires à sa propre aventure : comment un homme à la tête d’une prison a pu sombrer dans la folie ? De plus, il existe un succès si vous réussissez à trouver les 24 messages.

On regrette la non présence de planches pour les histoires de chaque protagoniste ou les cinématiques qui sont d’une grande qualité dont vous zoomez en toute liberté, à remarquer le visage diabolique du Joker.

Sommes-nous dans un jeu vidéo, dans une bande dessinée ou un film ? Le jeu respire de tous ces styles pour proposer à l’expérience unique.




Les énigmes de l’homme mystère donnent du cachet, en effet chaque méchant possède sa propre histoire comme la chambre de Harley Quinn dont son miroir est recouvert de photos de son amour impossible avec le Joker.
Certes l’aventure principale a une durée de vie dite normal, soit une dizaine d’heures, mais le fait de chercher tous les indices, ces quêtes sollicitent le joueur à vouloir tout savoir sur l’asile et ses habitants. L’Esprit Arkham amène une terrible histoire qu’on aime à découvrir dans tous ces détails. On remarquera l’émotion décrite par ce personnage caché qui peint les caractères des prisonniers les plus monstrueux de cet endroit.

La cape de Batman est considérée comme un second personnage. L’habit flotte, il vit, cette enveloppe se déchire au fil de l’aventure. De plus, Batman reçoit des cicatrices sur son costume, autre détail avant que vous soyez plongé dans un cauchemar de l’Epouvantail, vous remarquerez que le visage du héros change et ses yeux deviennent rouges.








Mode défi, un plus !

Doté d’une durée de vie qu’on trouve trop courte, Batman Arkham Asylum poursuit l’aventure à travers un mode bien jouissif.

Ce mode supplémentaire se débloque par le biais des différents défis de l’homme-mystère dans le scénario. Il permet au joueur de renforcer ces compétences, d’obtenir des succès et de poster ses scores sur des sites de classement ; ainsi vous pouvez comparer vos scores avec ceux de votre liste d’amis.

Le mode défi contient deux catégories : Combat et Prédateur.

Dans un défi combat, vous affrontez successivement quatre vagues d’ennemis de plus en plus coriaces et agressifs. Après chaque vague, Batman récupère un peu de vie. Les médailles sont décernées en fonction du nombre de points gagnés pendant le combat. Vous devez survivre aux quatre vagues pour obtenir une médaille.

Ce système se rapproche d’un Beat them all à l’image d’un fighting force, mais là il s’agit d’une recherche aux scores dont les plus anciens se souviennent de la recherche de la perfection ; ce mode est destiné aux pros gamers. A savoir que certaines séquences (focus) indiquent la position des autres protagonistes, bien pratique pour savoir d’où viendra la prochaine attaque. Le bonus Chevalier noir est remis que si vous ne subissez aucun coup lors d’une vague (500 points).





Les défis combat réclament de la bravoure, ici les défis prédateur réclament de la discrétion. Tous les ennemis sont armés et le Joker leur a donné l’ordre de tirer pour tuer ! Vous pouvez vous en sortir de façon avisée les coups de pied en planant, les batarangs et les éliminations au sol, cependant pour obtenir des médailles, des conditions sont requises comme une élimination silencieuse.

Voici un exemple lors d’un défi prédateur : Chevalier silencieux. Vous allez rencontrer six sbires armés dans le sanatorium. Agrippez-vous vite dans l’angle nord-est de la salle puis déposez du gel explosif sur le plafond fragile en contrebas. Rejoignez l’angle sud-est avec la tyrolienne pour déposer une autre dose de gel sur le mur près des deux hommes armés. Repliez-vous vers les gargouilles et faites exploser le gel pour éliminer trois ennemis d’un coup.
Avec le multi-batarangs, supprimez deux ou trois hommes de main puis appliquez quelques exécutions au sol rapide. L’élimination silencieuse peut se procéder en prenant l’adversaire depuis une gargouille.

D’ici quelques semaines, nous aurons droit à de nouveaux défis, ce qui permet de rallonger la durée de vie. Suivant les dernières nouvelles, les cartes seront gratuites, une chose rare actuellement.







Une version collector ?


Avec les campagnes publicitaires, l’acheteur est plus tenté de détenir une version spéciale, non seulement pour se démarquer, mais aussi se faire plaisir et vouloir des suppléments inédits.
Certaines boutiques ont proposé d’offrir une bande dessinée destiné à lancer une préface, un avant-goût au jeu. Certes, le dessin a une sacré classe, en contrepartie, les bulles n’ont pas été traduites et le petit format du livret se range facilement dans la boite du jeu.






Le coffret en aspect visuel a une certaine face de pet En déballant, nous trouvons un code d’accès pour un nouveau défis nommée « allée du crime ».
Concernant le Batarang, je vous recommande de le présenter en haut d’une armoire et placer un éclairage derrière l’objet afin de donner un genre de Bat-signal. Le boomerang made in Batman est volontairement usé pour donner l’impression d’utilisation régulière du héros. Monté sur son socle, l’objet manque de caractère à ceux qui espéraient quelque chose d’exceptionnel.
Le double pack contient le jeu, et un DVD making of lisible sur tous les lecteurs contrairement à celui de Gears of war 2. Ce documentaire ne se présente pas comme une propagande, mais indique le travail considérable de l’équipe, le film est sous-titré en français, un bon point pour ce coffret.
Un dossier de 48 pages de biographies des personnages, ce dernier est écrit par le professeur Young, personnage fictif lié au jeu, elle raconte la psychologie des détenus, book bien conçu, mais destiné aux véritables fans du jeu.

Alors que faire ? Ce coffret est destiné aux fanatiques de l’homme chauve-souris, et son prix reste trop élevé, à la rigueur une présentation sous boitier métallique, accompagné du livret aurait été suffisant avec un tarif de 75 euros environ.
La version collector sur 360 ne se trouve pas facilement et ceux qui désirent ce pack se tourneront vers des sites aux enchères ou bien se rendre directement chez Eidos.
Leur boutique a très bien gérée ma commande, livraison rapide, bien emballé.






On dévore Batman Arkham Asylum

Alors que d’autres jeux ont eu une campagne publicitaire, ce nouveau Batman se révèle comme une nouvelle référence dans le genre. Il emprunte les qualités graphiques en intégrant un moteur graphique où les détails montrent toute leur importance dans la recherche d’indices. Les visages et les personnages principaux ont bénéficié d’un excellent travail, on se croirait presque à une bande dessinée, il ne manque plus que les planches originales.

L’animation ne souffre d’aucun ralentissement, en dépit des nombreux combats et des ralentissements voulus lors des combos critiques. Cependant, j’ai remarqué un manque d’étapes sur le mouvement « courir » de Batman, mais rien de grave.
En outre, les personnages secondaires sont dotés de dialogues et malgré la répétition de certains gardes.

La prise en main ressemble étrangement à Zelda dans le fait de la gestion des objets, mais aussi dans le système de caméra qui se place au bon endroit.
A chaque nouvel item, la simplicité permet d’utiliser ces nouvelles techniques.

La bande sonore est simplement magnifique, en dépit d’un seul choix de langue, mais ne boudons pas notre plaisir. Des phrases cultes marquent le joueur : Poison Ivy « Quand j’en aurai fini avec Batman. Je m’occuperai de toi, Joker ! »







Batman : Arkham Asylum est une réussite totale, je ne lui trouve peu de défauts. Tout est superbement pensé et on s’en rend compte sans arrêt lorsqu’on y joue car pas mal de bons concepts ont été travaillés autrement, avec intelligence et cela fonctionne divinement bien. Ce titre a été pour moi, une véritable surprise, car je ne croyais plus à la réussite de Batman. On sent le travail fourni par ce studio qui a su respecter l'ambiance de la BD tout en s'inspirant des différents films, en particulier le dernier réalisé par Christopher Nolan. que dire de plus, vous trouverez de l'action rythmée et ininterrompue.




Graphismes : 18.00/20
Animation : 16.00/20
Prise en main : 18.00/20
Bande Son : 17.00/20

Note Globale : 17.00/20









Photos:

Films Batman, Batman dark knight, images de différents sites, sans oublier mes propres clichés (jeu normal et collector, soluce)
Couverture jeux vidéo, bande dessinée




Notice en couleurs pour la version collector :










Quelques photos concernant l'historique des personnages :








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Une présentation sommaire des défis





 
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