Weekly shônen magazine

Weekly shônen magazine
par ana









  
 
 







 
 




La maison d’édition Kôdansha, connue au Japon pour publier de tous les genres littéraires et être la plus grosse maison d’édition du Japon, a créé son propre magazine de prépublication manga le 17 mars 1959. Sous le nom de Weekly shônen magazine, il avait évidemment pour but de séduire un lectorat de jeunes garçons avec des histoires shonen donc de bagarres, de comédie, de suspense etc…

Peu après son lancement, il eut à faire avec un premier concurrent, le Weekly shônen Sunday de la maison d’éditions Shôgakukan et dès 1968 l’apparition du Weekly Shônen Jump allait lui faire beaucoup d’ombre !



Néanmoins, le Weekly shônen magazine a su attirer et favoriser des mangakas de grande envergure et présenter tout au long de ces décennies des titres variés qui ont fait sa réputation et aidé à développer ses éditions de mangas en livres reliés.





Le système qui fait le succès du « Jump » est assez proche de celui du Weekly shônen magazine mais les auteurs ont une marge un peu plus grande quant à l’évolution de leurs personnages.




Parmi les séries du catalogue de Kôdansha, on retrouve :




Air Gear
Ashita no Joe
Beck
Bloody Monday
Boys Be...
Code : breaker
Devilman
Drôles de racailles
Fairy Tail
Get Backers
GTO
Young GTO
Red hipe Rose
Tokko
Hajime no ippo
Katsuo
Love Hina
Monster Hunter Orage
Negima!
Parallel
Psychometrer Eiji
Rave
Suzuka
Samurai Deeper Kyo
Tsubasa Reservoir Chronicle
Vinland saga
Ultraman...












Des auteurs tels que Ken Akamatsu, Torû Fujisawa, Akimine Kamijyo et Hiro Mashima ont débuté et sont devenus des mangakas reconnus grâce au Weekly shônen magazine.

Ce qui distingue bien ce magazine des ses concurrents c'est aussi la variété dans les choix éditoriaux : on peut avoir du pur shonen tel que "Air Gear" et "Drôles de racailles" mais aussi des histoires moins fantasques et tout aussi intéressantes comme "GTO" ou encore "Beck" qui racontent avant tout une réalité de la jeunesse japonaise et se montre donc plus proche encore de ses lecteurs. Et enfin, on peut aussi lire des aventures limites seinen avec "Tokko", "Psychometrer Eiji", "Bloody Monday", bref des histoires qui sont parfois complexes.









Sources : Wikipédia,Google images



 
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