Maison Ikkoku

Maison Ikkoku
par ana

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Nombre de volume en France :
Nombre de volume au Japon :
Version animée :

  
  

Mezzon Ikkoku 
Ruriko Takahashi
romance, quotidien, comédie 
shojo 
2008 
Tonkam 
shojo
10 
10 (série terminée) 
96 épisodes 

 
 





Résumé.



Yusaku Godai a raté ses examens d’entrée à l’université qu’il avait choisie et ce non par manque de volonté mais bien parce que la pension familiale dans laquelle il a élu domicile pour suivre ses études à Tokyo est aux mains d’une propriétaire fêtarde et ivrogne qui entraîne ses locataires dans des soirées sans fin.. Dans cette ambiance épuisante, Godai se dit qu’il ne parviendra jamais à se concentrer suffisamment pour réussir son entrée dans la vie active, d’autant que les deux autres pensionnaires sont de vrais comiques débauchés qui ne l’aident pas à faire entendre raison à la propriétaire…. Godai est donc décidé à trouver un autre logement en dépit de ses maigres moyens. Pourtant ses plans vont être bouleversés. La propriétaire a embauché une nouvelle concierge (car le précédent a déclaré forfait, épuisé). La jeune femme qui se présente a tout juste 20 ans, est déjà veuve et se nomme Kyoko. Son charme opère immédiatement sur Godai qui reste malgré tout à la pension. Discrète dans un premier temps, Kyoko va vite révéler un caractère bien trempé, ce qui lui sera bien utile pour régenter les folles soirées de la pension et le mode de vie décousu de ses habitants. Godai fera de son mieux pour se faire remarquer. Mais le souvenir de son défunt mari, l’arrivée d’un rival, seront pour Godai autant d’obstacles à un amour bien compliqué.




Des quiproquos en pagaille qui ne vont pas faciliter la tâche de notre héros !










Avis.





Semé de quiproquos, de comédie, de romance et de gags pas possibles, « Maison Ikkoku » est un manga qui n’a pas vieilli dès lors que l’on aime la patte années 80 de sa dessinatrice également auteur de Ranma ½.

Chaque personnage a son caractère, son physique, et les détails des ambiances et autre décors sont soignés.

Rumiko Takahashi sait tourner ses histoires en dérision tout en maintenant une ligne directrice crédible et claire (le simple fait que le chien de Kyoko porte le même prénom que son défunt mari est l'occasion de bien des malentendus amusants).





Peu ignorent la qualité et le succès de l’adaptation TV de ce manga qui reste un must du genre. La version originale est tout aussi savoureuse, pleine d’expressivité et d’un humour décapant. On se plait à suivre les déboires sentimentaux d’un jeune héros maladroit au possible mais tellement sincère qu’on aimerait l’aider ou lui donner un coup de pied aux fesses !



La réédition de Tonkam en grand format est de belle qualité si ce n’est que les couvertures, très jolies, sont en carton fin sans jaquette et donc quelque peu fragiles….







A lire si vous avez aimé la série, si vous aimez le shojo sans larmes à l’excès.



 
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