Dead or Alive

Dead or Alive
par Satan

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Origine :

  
  

DOA / Dead or Alive 
Corey Yuen 
Jeremy Bolt, Mark A. Altman, Paul W.S. Anderson, Bernd Eichinger, Robert Kulzer  
Metro Goldwyn Mayer
Devon Aoki, Natassia Malthe, Jaime Pressly, Holly Valance, Sarah Carter, Sing Ngai, Matthew Marsden, Kevin Nash, Eric Roberts, Robin Shou 
Action 
17 juillet 2007 
Etats-Unis 

 
 



Voila ce que l'on appelle un plan fiacre.

Résumé: On va se faire la version longue car la version courte serait: Un vilain a organisé un tournoi d'arts martiaux auquel participent des filles avec des gros seins. Mais on peut développer un peu plus, pas beaucoup certes mais bon... Alors voila, des jolies filles avec des gros seins, reçoivent des invitations au tournoi d'arts martiaux (karaté , kung fu et crêpage de chignon) DOA, appâtées par le gain (bah oui, les femmes c'est vénal...) ou par la curiosité (oui, c'est comme des p'tits chatons les femmes) voire la vengeance (des chatons rancuniers certes...), elles s'engagent dans le tournoi. Petit à petit, leur hôte leur semble être un machiavélique manipulateur et elles n'ont pas tort (car si les coups blessent, le tort tue, il faut donc l'éviter). Bref, il se passe des choses pas nettes sur cette île (ai-je oublié de dire que le tournoi se déroulé sur une île?)



Le sage disait, si tu veux une chance de gagner, regardes plutôt la balle.


Pour faire simple, on dirait un peu "Opération Dragon" mais avec un Bruce Lee surpouponné ^^
Car dans le film comme dans le jeu, le scénar on s'en fout, ce qui compte c'est 2 ou 3 bastons et des bikinis.


Chronique: Bon, là aussi, il y a 2 choix, soit, je suis de bonne humeur, soit non... soit je trouve le film relax, soit je dis que c'est une bouse... comme je suis plutôt d'humeur chiante, je vais dire les deux ^^
Alors, de toute façon, ce film ne vous vole pas sur la marchandise, dès le départ le ton est donné avec son héroïne qui combat une armée, qui s'envole littéralement par dessus une muraille, qu'à côté la muraille de chine c'est des rigolos et qui déplie son deltaplane qu'elle avait dans le dos, le tout entrecoupé de petites culottes et de Cosplay. Venons en donc au cosplay, normalement, dans un film, on ne sent pas que les costumes en sont, et bien là si, d'où le côté cosplay, on dirait que les costumes n'ont pas été fait pour les acteurs mais pour les conventions (ceci dit, ce côté ne manquera pas de plaire aux nombreux nipponophiles déviants dont je ne fais guère parti) bref, voila un point énervant.



Le nouveau jeu qui fait fureur a la récrée, je te tiens tu me tiens par le bout .... du sabre.
mais sans critiquer, le violet, pour une armée, ça ne fait pas très viril.

Autre point plutôt navrant, l'image moche qui façonne le film, bon OK, c'est tiré d'un jeu et ceux qui aiment le jeu sont pas regardants sur ce genre de détails (pensée typique de producteur moyen) mais bon, un petit effort pour rendre l'image agréable et lisible aurait été bienvenu. Maintenant, le point "positif" les acteurs!! Tous plus mauvais les uns que les autres, ils n'en font qu'à leur tête et cabotinent à qui mieux mieux (d'ailleurs le grand méchant, Eric Roberts pour les connaisseurs, mérite la palme) et qui vous débitent des âneries comme si c'était du Shakespeare c'est franchement hilarant! D'ailleurs, il y a une scène mémorable où une des héroïnes vient de découvrir le code du coffre et son emplacement et où elle propose donc à un type de s'associer avec elle et de partager la somme... ou comment perdre la moitié de son blé en quelque seconde...bref.



'achement balèze de mettre son soutif de cette manière... et c'est même pas à 10 minutes du début...

En parlant de perte, c'est mon propos que j'ai perdu...

AH, oui, ayé, je me souviens, donc des acteurs qui nous débitent des nazeries. Bon, donc comment aimer ce film me demanderez vous (ou pas c'est selon)? Et bien, finalement, c'est assez simple, il faut aimer le nanard plein pot avec tous ses côtés cheap camouflés par du nichon. Et à ce point, aussi surprenant que ça puisse paraître, DOA évite la vulgarité... enfin, ça reste un poil beauf tout de même mais y a pas de nudité trop explicite on reste dans le suggéré (enfin, on nous aide bien a suggérer tout de même). Bref, il s'agit d'un film vraiment dispensable mais qui prendrait toute sa splendeur dans une soirée bière entre couillus...


"Qu'est-ce que je fous là? J'aurais dû rester dans "Earl"!"

À noter la présence de Kevin Nash, vrai catcheur "jouant" comme il peut le père un peu simple de Tina visible ci-dessus.

Note:2/6, bah ouais, c'est pas un chef d'œuvre mais vu que j'ai bien rigolé...

 
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