Sucker Punch

Sucker Punch
par Couscous

Titre Original :
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Producteur :
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Acteurs :
Genre :
Année de sortie :
Origine :

  
  

Sucker Punch 
Zack Snyder 
Zack Snyder, Deborah Snyder 
Warner Bros
Emily Browning / Vanessa Hudgens / Abbie Cornish / Jamie Chung / Jena Malone 
Fantastique 
25 mars 2011 
États-Unis 

 
 



Fiche technique (ta mère ?) :
Informations complémentaires :
Scénario : Zack Snyder / Steve Shibuya
Durée : 109 minutes




Synopsis (tite ?) :

L'histoire prend place dans les années 50. Une jeune blonde accompagnée de sa brune de sœur encore plus jeune vient de perdre sa mère. Ne reste plus que l'affreux beaux-père tout gros, tout gras pour s'occuper d'elle. Le vilain, tout d'abord satisfait du décès de la mère, change de mine lorsqu'il apprend que la gourgandine lègue tout à ses filles et rien pour lui. Dans un accès de violence, la plus jeune décède et le beau-père décide de tout mettre sur le dos de notre belle blonde et de l'envoyer dans un hôpital psychiatrique (en plus il pleut, c'est dire si c'est une journée de chiotte).
L'hôpital en question est quelque peu spécial et la jeune fille va très vite voir ce nouveau monde à sa manière. Sorte de maison de passe disposant de danseuses pourvues d'atout certains et menées d'une main de fer par un Blue aussi machiavélique que sa moustache est ridicule. Babydoll de son nouveau patronyme se retrouve être une danseuse ensorcelante et ses prouesses vont servir à détourner l'attention pendant que ses consœurs déroberont certains objets nécessaires à leur évasion. Les danses en question seront une fois de plus l'occasion de visiter l'esprit débridé et totalement barré de Babydoll puisqu'en lieu et place de mouvements suaves, nous serons transportés dans des univers totalement improbables pour y découvrir notre équipe en train de se castagner sous toutes les coutures contre des ennemis pour le coup très divers.



Avis (culture ? ...ouais j'en suis pas fier de celle-là) :

Difficile de parler de ce film, en effet il s'agit d'un scénario assez peu commun et difficilement descriptible sans révéler certaines clés. Bon, il n'y pas de super intrigue non plus mais je trouve toujours préférable de découvrir cela par soi-même. A vos risques et périls de lire la suite donc.
A plusieurs occasions, on se retrouve embarqué dans l'esprit de la jeune fille et c'est évidemment le principal intérêt de ce film. Personnellement, j'ai fait abstraction du reste qui est très discutable (ou pas) pour ne garder à l'esprit ce que j'ai surkiffé, les scènes d'action. Chaque "danse" nous plonge dans un univers geekesque qui ravira aussi bien les fan de jeux vidéo, de manga, d'héroic fantasy, de japon...et de petites culottes :bave:
Moi qui aime partir également dans certaines folies lorsque je m'imagine des histoires et qui, pour le coup, adore mélanger les genres, j'ai été plus que servi. Car oui, Snyder nous permet de visualiser ce que j'ai toujours rêvé, un samouraï géant armé comme le Némésis de Resident Evil et combattu par une petite blonde avec un sabre et un gun, elle-même vêtue d'une petite jupe d'écolière, un mécha à tête de lapinou qui explose des avions de la première guerre mondiale pilotés par des soldats-nazis-zombies, des orques du seigneur des anneaux assiégeant un château dans lequel se trouve un dragon et qui sont abattus au mp9... Ce sont les quelques délires remplit de fan-service qui vous attendent.
Beaucoup de références, vous l'aurez compris dans les exemples cités, à prendre comme des clins d'œil plutôt que comme du plagiat (les orques en question sont absolument identiques à ceux du SDA), le Zack sait à quel public il s'adresse.



Réalisation graphique (...je sèche comme un saucisse là) :

Aucun doute, c'est bien le même réalisateur que 300 et The Watchmen, on pourrait même trouver que le style commence à devenir "classique" et qu'il ne se foule plus trop le Zack. Mais après tout, pourquoi changer de recette quand le gâteau est bon. On est donc servi en ralentis sulfureux et ultra-gros plans bien stylés.
La qualité des effets spéciaux est irréprochable et les univers, pourtant très différents, se mêlent sans peine.



Bande-son (of a bitch ?) :

La musique tient ici un rôle tout particulier. En effet, comme j'ai pu le lire dans un interview du réalisateur, elle est le déclencheur de l'action. Et là, encore un point que j'adore, les bagarres sont soutenus par des musiques bien punchies qui renforcent encore le côté déjanté.
Concernant le choix des musiques, j'ai été très agréablement surpris en entendant des reprises dans des versions inattendues de Sweet Dreams ou encore Where is my mind. Il est même possible d'entendre un bout de Queen !
Je vous recommande (et vous laisse chercher) la BO.



PD (produits dérivés bande de nazes) :

J'ai été très étonné en cherchant des infos et des photos sur le film de découvrir qu'il existait déjà (ou presque) tout un tas de produits dérivés. Bon je n'ai pas spécialement envie de vous parler des t-shirt, mugs et autres tapis de souris, on s'en secoue le poireaux, mais parlons plutôt des figurines !
45 cm de nos belles héroïnes, elles ont l'air de plutôt bonne qualité (je n'ai pas trouvé la matière) et surtout elles coutent un bras : 189 €, il vous faudra attendre Juin 2011 si vous voulez caresser la jolie Amber (oui caressez le rêve si vous voulez). 2 modèles seulement de dispo pour l'instant, Amber et Sweet Pea.





Liens vidéos (d'oran ?) :

Je vous laisse ici quelques liens vers des trailers et autres joyeusetés :
- Trailer n°1 (VO)
- Trailer n°2 (VO)
- Bande-annonce (VF)



Bonus :

C'est cadeau ;) (et je ne vous les ai pas redimensionnées celles-là hé hé)







 
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