The Thing

The Thing
par Anabel

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Acteurs :
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Année de sortie :
Origine :

  
  

The Thing 
John Carpenter 
David Foster, Lawrence Turman  
Universal Pictures
Kurt Russell, Wilford Brimley, Keith David, David Clennon 
Horreur 
1982 
Etats-Unis 

 
 



Histoire.


Base américaine de recherches en Artique. Des explosions éveillent l'alerte au sein de l'équipe endormie. L'hiver approche et tous se préparent à passer leurs six mois obligatoires dans la base. Mais en ce début de journée, leur tranquillité trop paisible est mise à rude épreuve: l'hélicoptère de la base norvégienne fonce à travers le paysage glacé, droit vers eux, poursuivant un chien de traineau. Paniquée, la bête évite les explosifs qu'on lui jette dessus, les balles qui fusent près de son museau. Les membres de l'équipe américaine sortent tous pour constater l'étrange fait. Le chien se rue vers eux, cherchant une protection. L'hélicoptère se pose et un des passagers en descend, visiblement affolé, hurlant dans sa langue maternelle des propos que personne ne comprend. Par erreur, un des norvégiens fait exploser l'engin mais le seul rescapé n'y prête pas attention, il tire encore sur le chien et blesse un des américains, qui, sentant le danger, n'ont pas d'autre choix que de l'abattre.
Stupéfaite, l'équipe choisit d'en avoir le coeur net et envoie trois de ses membres visiter la base norvégienne. A leur arrivée, ces derniers ne trouvent que des cadavres, des restes aux formes inquiétantes et puantes. Mais surtout, ils comprennent que les chercheurs norvégiens avaient fait une découverte des plus singulières, une entité prisonnière de la glace depuis des millénaires. A l'évidence, une bataille a eut lieu et les norvégiens en ont perdu la raison et la vie.
Mais ce que ne savent pas encore les américains, c'est que la chose (The thing) est maintenant dans leur base et compte bien en faire son domaine en attendant que l'hiver passe pour ensuite partir à la conquête du reste de son nouveau territoire.




Avis.


Le film date un peu mais ses effets ne sont aucunement passés de mode. On se retrouve immédiatement plongés dans un contexte hostile, avec des visions de cauchemar qui grandissent et se multiplient car "la chose" a une manière bien particulière de se fondre dans la masse... Gare aux estomacs sensibles. Tout l'art de John Carpenter est dans ce film porté par des acteurs tombés dans l'oubli en dehors du fétiche de Carpenter, le héros de son "New York 1997", Kurt Russel.





 
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