Blues Brothers 2000

Blues Brothers 2000
par ana

Titre Original :
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Année de sortie :
Origine :

  
  

idem 
John Landis 
Universal Pictures 
Universal Pictures
Dan Aykroyd, John Goodman, Joe Morton, J. Evan Bonifant, Nia Peeples 
comédie, musique 
1998 
USA 

 
 






Guests : Aretha Franklin, BB King, Eric Clapton, Isaac Hayes, Jimmie Vaughan, Steve Winwood, Koko Taylor, James Brown, Johnny Lang, Taj Mahal….
Scénario : Dan Aykroyd, John Landis
Musique : Paul Shaffer
Durée : 123 min



Synopsis.



Une prison au lever du jour. Devant le portail de métal attend un prisonnier libéré, vêtu d’un costume cravate noir, d’un chapeau noir et de lunettes noires… C’est Elwood Blues. Après 18 ans passés à l’ombre pour diverses infractions commises lors de sa légendaire tournée avec les Blues Brothers, Elwood est libre mais il est bien seul.





Il attend pour rien. Son frère de cœur et de musique, Jack Blues, est décédé. Elwood l’apprend de la bouche du directeur de la prison qui est surpris de le voir planté devant l’entrée de l’établissement. Attristé, Elwood se sent plus seul que jamais quand une ravissante jeune femme surgit au volant d’une belle voiture. Elle se nomme Matara et vient le chercher à la demande de l’ancien batteur des Blues Brothers, Willie. Un vent rassurant pousse Elwood qui découvre que Willie a refait sa vie en achetant un bar qui marche plutôt bien et dans lequel Matara est danseuse exotique.

Bien qu’Elwood projette de remonter son ancien groupe avec les membres d’origine, Willie ne semble pas décidé : il ne veut plus d’ennui. Alors Elwood pense d’abord à réunir le cœur des Blues Brothers, en commençant par retrouver son mentor Curtis. Mais l’orphelinat où Curtis avait trouvé Elwood et Jack est vide de ce père spirituel fan de blues, lui aussi est mort. Elwood ne se décourage pas car la mère supérieure lui apprend que Curtis avait un fils illégitime quelque part, Cabel et qu’il est chef d’un service de police en ville. Elwood s’en va de ce pas le convaincre de se joindre à son groupe avec dans les jambes le tout jeune Buster, pupille de la nation que la mère supérieure confie à Elwood pour une journée.

Le caractère fantasque d’Elwood éveille l’admiration de Buster qui décide de lui coller aux basques. Si Elwood échoue à convaincre le fils de Curtis, il trouve avec Buster et Mack, le barman de Willie, deux complices parfaits pour la scène !






Il n’en faut pas plus pour qu’Elwood parte trouver chacun des anciens musiciens du groupe et leur force un peu la main…. Et c’est reparti pour une danse entre les Blues Brothers et leur public… Sans oublier la police car partout où les Blues passent la tôle froisse !





Avis.



Un superbe moment avec ce film qui déménage côté action et musique !

Pour ceux qui connaissent le premier film « Blues Brothers », c’est une suite très réussie, pour les autres, c’est la séduction assurée. De l’humour, beaucoup d’humour, de la très bonne musique, une histoire qui tient la route sur peu de choses puisque c’est délirant mais sympa.





















Dan Aykroyd reprend l’un des rôles qui ont le plus marqué sa carrière, ce qui ne pu se faire avec son complice du premier film, John Belushi hélas décédé depuis. Il a donc coécrit une suite reprenant des intervenants du premier film dans une intrigue qui ressemble à ce que l’on connait des Blues Brothers qui, franchement est une marque déposée… Dans le premier film, les Blues devenus des petits gangsters se mettaient au spectacle pour récolter assez d’argent afin de sauver l’orphelinat où ils avaient grandi et pas question de le faire avec de l’argent volé mais dans un concours musical… Ici, Elwood entretient l’héritage de son frère disparu, de son père spirituel mort, avec une volonté toute discrète et délirante, une voix et un sens du rythme toujours d’actualité ! Et il veut relancer les Blues Brothers sur le chemin de la gloire avec une tournée et un concours à la clé ! Mais il faut passer entres les mailles ennemies : police, mafia russe et quelques zigotos en treillis...


Oui, le Blues est un personnage qui fait le lien entre les deux films, plus encore que la présence de John Landis derrière la caméra à chaque fois, que celle des mêmes comédiens (en vie), John Goodman et J. Evan Bonifant mis à part, des mêmes stars en invités ou presque (il manque Ray Charles ou Steven Spielberg en percepteur d’impôt ^ ^ ) avec un zeste de nouveaux venus de la scène… Musique, chorégraphies, ça déménage sec et c’est très bon pour le moral et les zygomatiques !




La BO est terrible, tout est fait pour passer un très très bon moment !

Assortiment :




Bonus en fin de générique :



 
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